Oui, absolument, l'entrée au collège peut être réussie et SANS soutien scolaire pour le calcul !
C'est le but de ce site. De nombreuses générations l’ont fait avant nous. Avec les réglettes Cuisenaire.
Seuls les jeunes qui ont acquis des bases solides en mathématiques, un raisonnement sûr, une aisance avec les nombres n'auront pas besoin de soutien scolaire. Le calcul mental et la souplesse de leur pensée les mettra à l'abri des manipulations faciles des chiffres, très courantes aujourd'hui...
Car, ce qui est important finalement, ce n’est pas d’être passionné de maths, ce n’est pas non plus d’en faire son métier.
Alors, où est l'important, où est l'objectif ?
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Un objectif simple : pas de soutien scolaire
Avoir des bases solides en mathématiques est aussi essentiel que de savoir manier la langue pour être à l'aise au quotidien. De quoi parle-t-on ? Car nous sommes d'accord, il ne s'agit pas de viser de hautes études de mathématiques, ce n'est pour l'instant pas l'objectif. Plus tard, si votre enfant le veut.
Mais l'objectif principal et premier, c'est atteindre un niveau minimal indispensable à tout un chacun pour évoluer sereinement dans la vie de tous les jours. Et sans soutien scolaire, dans le plaisir simple de savoir répondre à une question.
Ne pas être à l'aise avec les nombres et les calculs
est aussi handicapant dans la vie
que de ne pas savoir s'exprimer clairement.
Quel chemin est le plus répandu ? Un enfant entre en primaire, il apprend l'addition sur des petits nombres, plus ou moins péniblement. Il passe dans les classes suivantes, c'est systématique, quelque soit son niveau. Il accumule des petits rien pas bien compris, des incertitudes, des mini flous... Lorsqu'arrive la soustraction, ça coince un peu. L'opération posée... là ça devient pas clair du tout... Ça marche des fois, et puis des fois pas du tout... « en fait, j'y arrive pas » se dit l'enfant. Il faut continuer de toute façon... On passe à la multiplication et puis la division... C'est la bérézina, la débandade, l'angoisse. Et la pente fatale : « en fait, je suis vraiment nul/nulle en maths ».
L'incompétence apprise
Quelques enfants comprennent tout seul, alors, quelque soient les conditions, ils intègrent. Le vôtre peut-être ?
Du soutien scolaire ? Pour quoi faire ?
La plupart des parents se disent que ça ira mieux après. Ou qu'ils ne peuvent rien faire. Ou que la seule manière d'aider son enfant passe par du soutien scolaire.
Oui, mais dans quel but ? Du soutien scolaire, c'est un une heure par semaine... Ça coûte cher en temps, en déplacement et en argent...
Mais peut-on éliminer des lacunes en 1h/semaine ? À l'école c'est 5h/semaine pour le calcul et la géométrie, du CP au CM2 et 4h30 / 3h30 au collège...
Et la confiance que votre enfant a perdu depuis qu'il croit « en fait, je suis vraiment nul/nulle en maths » ?
Soutien scolaire ou des bases solides, que choisir ?
Des bases solides, qu'est-ce que ça veut dire ?
- Savoir calculer, mentalement et à l'écrit les quatre opérations, sur les entiers, les décimaux et les fractions ;
- Savoir reconnaître quelle opération est utile dans un problème ;
- Être capable de trouver des expressions équivalentes plus simples pour calculer des calculs apparemment compliqués de tête ;
Les élèves de fin de primaire y arrivaient bien il y a quelque trente petites années... pourquoi pas aujourd'hui ? Et si j'essayais quelque chose d'autre ?
Quelques soient vos ambitions et votre objectif pour votre enfant, le commencement est le même pour tous : les bases.
Sans base, pas de construction possible. C’est évident ? Alors voyez ceci.