Et les calculs au collège ?

   Voilà le collège ! Une sacrée étape, importante, réputée difficile.... Alors, on espère « avoir de la chance »...

   Mais votre enfant est-il bien à l’aise avec les calculs, les opérations, les fractions, les nombres décimaux… ? Comment se sent-il lorsqu’il entre dans la classe pour son cours de maths ? L'idée de faire des calculs le rend heureux, indifférent ou pire bloqué, peut-être anxieux ?

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Plaisir des nombres - Collège

Parce que la chance ne suffit pas pour les maths au collège...

   Votre enfant a t-il gardé quelques zones d’ombres autour des nombres ? Les calculs élémentaires sont-ils restés un peu flous pour lui ?

Alors, les maths au collège... Le risque est grand de perdre confiance en soi, de se retrouver plus souvent en échec qu'en réussite, de développer un rejet des nombres et des calculs, et de voir apparaître des lacunes…

Et si c’est déjà plus que des zones d’ombres, la chance est vraiment mince que ça change au collège, malheureusement.

... et que la maîtrise des maths au collège dépend de celle du primaire…

Plaisir des nombres - Les maths au collège : la table de 0 au collègeD'après cette petite discussion, les lacunes ne sont pas rares en maths au collège et au lycée... Ce sont même environ 40% des élèves qui sont en difficulté. Et pourtant, les enjeux sont considérables.

Alors, que faire ? Et si, même au collège, vous aidiez votre enfant ?

Plaisir des nombres - Les maths au collège : aider son enfant à conquérir sa propre force et à son rythmeEn fait, il est certain que tout le monde peut réussir en maths, votre enfant aussi. Et quelques soit l'ambition que vous avez pour lui, il doit pouvoir être accompagné pour développer son propre potentiel. L'essentiel étant qu'il puisse se sentir bien et être à l'aise avec ses moyens, à son niveau.

Et si ce n'est pas le cas à l'école, alors vous êtes au bon endroit ! Car vous êtes aussi en mesure d’aider votre enfant, et je veux vous y aider.

Car vous savez que les maths, c'est plus qu'une simple matière, c'est aussi un critère de sélection... J'en parle (et plus en s'inscrivant dans la colonne de droite).

Et puis, votre enfant comme tous les autres et comme tous les humains a une faiblesse : il aime faire ce qu'il réussit ! Évidemment, on est tous pareil, on est stimulé par la réussite et démotivé par l'échec.

C'est pour cette raison que je vous propose une autre manière d’aborder les notions mal comprises. Pour permettre aux enfants de vivre la réussite en calcul, de façon à les motiver pour avancer.
Je vous propose de mettre directement les nombres dans les mains de votre enfant. Qu’il puisse voir, avec ses yeux et toucher avec ses mains, ce que sont les fractions, les nombres décimaux, les puissances…

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Et si on dédramatisait les maths au collège ?

Plaisir des nombres - Construction en régelttes de Cuisenaire pour les maths au collège - symétrieEn manipulant, comme un jeu, par exemple ! Sans stress et sans panique, doucement, avec plaisir. Parce qu'on a beau dire, même encore au collège, manipuler reste très important pour comprendre.

Et si on prenait le temps ?

Plaisir des nombres - Les maths au collège : donner du temps !Bien sûr, évidemment que le temps presse ! Les difficultés, c'est maintenant qu'on les voit, et c'est tout de suite qu'on veut une solution.

Bon, très bien, mais dîtes-moi : combien de temps met un enfant pour se lever et marcher ? Et pour autant, une fois que c'est parti, c'est pour la vie... Notre société nous pousse à nous sentir pressé. Sans répit, tout le temps, comme si le bonheur se mesurait à la vitesse de défilement de notre quotidien et que l'on se sentait pleinement épanoui en étant pleinement débordé...

On a beau vouloir aller plus vite, il n'y a rien à faire : apprendre prend du temps. On peut tourner l'idée dans tous les sens, il n'y a qu'une seule réalité : le temps nécessaire pour comprendre, assimiler et fixer dans notre mémoire une information nouvelle est incompressible.

Alors, ce temps dépend de ce qu'on apprend, de notre condition physique et mentale, de l'environnement... Oui, bien sûr. Et puis, ce temps n'est pas le même pour tous. Absolument. Mais... pas de secret ni magie : il faut donner le temps nécessaire au cerveau pour le traitement de l'information, son classement, son stockage.

Si l'école n'a pas donné ce temps à votre enfant, vous pouvez le lui offrir.

Ce que je vous propose pour les maths au collège

Comme je crois fermement qu'il est toujours temps de changer les choses, surtout celles qui ne conviennent pas, voilà ce que vous trouverez ici.

Devant l’ampleur des difficultés en maths au collège, je vous propose des modules spécifiques : 1/ vous découvrez le matériel, les réglettes de Cuisenaire. Ensuite, 2/ des manipulations simples vous permettent de (re)découvrir la notion. Enfin, 3/ des exercices simples et clairs d'application permettent de fixer ce qui vient d'être compris puis d'approfondir.

Dès à présent, révisez les fractions !

Pour tous les détails et recevoir les articles, c'est par ici

2 thoughts on “Et les calculs au collège ?”

  1. Bonjour, je vois sur le site que vous proposez un programme pour la maternelle et début du primaire. Avez-vous aussi un programme pour la fin du primaire? Pour un enfant au CM1 par exemple.

    1. Bonjour Capucine,

      À proprement parler, l’accompagnement que je propose est axé sur les fondamentaux, donc correspond plus au début de la primaire. Je n’ai pas spécifiquement développé un accompagnement qui en serait la suite pour l’instant. Pourquoi ?

      Par manque de temps, un peu. Mais surtout pour la raison suivante : de par mon expérience avec les enfants de primaire, je sais que leur entrée en mathématiques est souvent lacunaire, mécanique et la progression imposée est telle qu’au bout de trois ans – le temps que couvre mon accompagnement – les mauvais réflexes sont déjà plus ou moins en place. Ainsi, peu d’enfant de CM1 pensent à utiliser les symboles mathématiques pour traduire un calcul à l’écrit, parce que ce langage a déjà bien peu d’utilité et de sens pour eux. C’est pourquoi les opérations sont définies dans l’esprit des enfants uniquement par leurs versions écrites, mais jamais par leur utilité. Quasiment aucun ne voit dans le signe égal autre chose que le déclenchement d’un calcul. Trop peu ont entraperçu le lien entre l’addition et la soustraction. La division étant abordée très tardivement elle n’a aucun lien non plus avec la multiplication. Ce qui complexifie considérablement sa compréhension et ne facilite pas du tout l’entrée avec les fractions. Sans parler du système décimal qui reste assez obscur pour beaucoup d’enfants de primaire qui ne le comprennent pas ni ne le manipule pas aisément non plus. Cela se remarque de suite avec l’écriture à virgule des nombres décimaux…

      Ce sont quelques exemples qui sont tellement fréquents, qu’ils en deviennent comme une « norme » de ce que produisent les débuts de l’enseignement. Et pour moi, il est préférable de s’assurer des bases solides plutôt que d’avancer à tout prix, comme l’impose l’école aujourd’hui. Sous peine de voir des « automathes » au collège…

      Par conséquent, si votre enfant a des difficultés à suivre en CM1, c’est très probablement que ce dont je parle ci-dessus n’est pas en place. Et dans ce cas, mieux vaut revoir les fondamentaux. Dans cet accompagnement je les aborde par la manipulation des réglettes et par une méthode de questionnement qui engage l’enfant à penser avant d’écrire. Ce qui est une approche très différente de ce qui se fait aujourd’hui à l’école ou les enfants sont entraînés à écrire avant même d’avoir pensé, en mathématiques, comme en français d’ailleurs. Pour cela, même les enfants de fin de primaire qui ont suivi cet accompagnement en ont tiré parti, par les révisions qu’il leur a permises et la vision différente qu’il leur a apportée. L’ensemble des sujets traités sont visibles sur cette page : https://plaisir-des-nombres.com/les-bons-plans/

      Selon ce que vous cherchez exactement et les difficultés de votre enfant, je peux vous donner plus de précisions par rapport à cet accompagnement. Si vous le souhaitez, nous pouvons en discuter en visiophonie par exemple. Je peux aussi soutenir votre enfant directement.

      J’espère avoir apporté les précisions souhaitées.

      Amicalement,

      Mireille Gaillard

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